Jouir par le fondement

Catégories : Libertins
il y a 3 ans

Je partageais déjà depuis plus de cinq ans, avec Marie, d’ardentes parties de jambes et de cul en l’air, lorsque m’est venue l’idée de faire passer ma bite de sa chatte à son cul. Pour la préparer je lui ai, du bout d’un doigt, enduit la rondelle de ma salive. Inerte tant que je suis resté à la porte, Marie tressaillit lorsque, franchissant la barrière du sphincter, mon doigt batifola de l’autre côté. Une doigtée de salive n’étant pas suffisante, je suis allé en faire provision pour masser l’intérieur du cul de ma salope, comme elle aimait se faire appeler. De nouveau le doigt en bouche, j’ai découvert le goût du cul de Marie et, sans doute sous le coup de l’excitation, j’ai trouvé ce goût divin.

Marie refusa longtemps de laisser ma bite lui dilater le sphincter, mais toléra toujours d’y laisser entrer mon doigt et, plus tard, sollicita de le remplacer par ma langue. Lui mettre au cul un doigt enduit de salive, déguster son jus en faisant de nouveau provision de salive, cela fit bien vite partie du rituel de nos soirées, de nos matins et de nos siestes. La manœuvre se renouvelant, j’avais bientôt dans la bouche autant de jus de cul que de salive ; en l’embrassant, je partageais le mélange avec Marie qui, au début, resta indifférente. Un jour, particulièrement excitée, elle voulut savoir si le jus de mon cul avait le même goût ; le rituel s’élargit, chacun goûtant les doigts sortant de son propre cul et de celui de l’autre.

Peu de temps après, Marie, allongée sur le ventre, écartant bien ses deux globes, réclamait de se faire enculer, même si cela ne la faisait pas jouir, dans le seul but de sucer ma bite au sortir de son cul et déguster, de préférence, une giclée de sperme aromatisée au jus de cul. Après la bite, les godes ; Marie, après me les avoir enfilés et bien enfoncés dans les entrailles, les prenait en bouche à la sortie et m’en faisait partager la saveur. Du coup, je pris aussi en bouche tous ceux que je m’introduisais à tout moment de la journée, en dehors des séances à deux. Une fois l’enculage institutionnalisé, nous avons étudié les lubrifiants ; certains sont, pour la glisse, plus efficaces que la salive mais, pour apprécier la saveur du jus de cul, la salive, c’est le pied.

Beaucoup d’autres femmes ont laissé mes doigts glisser entre leurs fesses et, bien enduits de salive, franchir l’œillet de leur cul. Toutes ont été flattées que j’apprécie leur goût, beaucoup ont partagé la dégustation, quelques-unes ont voulu la dégustation comparée.

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